Pour les "Jeunes Turcs" (le régime au pouvoir ..,ndlr) il fallait anéantir les peuples grec,
arménien, yézidi et assyrien.
Le véritable désastre est arrivé aux Arméniens avec une population plus nombreuse que le reste des
peuples ci-haut répertorié.
Pour cette raison, ceux qui ont partagé un sort simi-
laire ne peuvent pas être évoqués avec la même ma-
jesté.
Au nom de la sécurité du front oriental, les Arméniens,
enfants, femmes et personnes âgées ont été chassés
de leur ville et village vers les déserts syriens et ont
été attaqués et pillés, pendant le trajet, par des gangs
armés criminels, relachés à cet effet des prisons.
Ankara réfute toute affirmation de génocide car pour
sa version il s'agit d'une déportation forcée par des
raisons de sécurité. Bien que les noms d'Enver, Talat
et Djemal ont été proéminents dans le projet et l'éxé-
cution du Génocide, les fonctionnaires locaux de
l'Union et Progres (le parti des "Jeunes Turcs, ndlr) ont activement participé aux
opérations d'annnihilation des non-Turcs et ont
servi dans la structuration de la République turque,
héritière de l'Emire ottoman.
Zaven Gudsuz zaven471@hotmail.com (ancien élève des collèges mekhitaristes d'Istanbul & de Sèvres)
diplômé d'économie de l'Université de Nantes en France
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